jeudi 17 mai 2018

La taille de mon Âme volcanique

Par un bel été, quatre volcans bercés par le Noroit. 
Qu’ils sont vivants !
Il versa une larme chaude et remit son chapeau à l’endroit. 
C’est tout.
En joignant les deux mains, il comprit tout. 
Pourtant, rien ne vint.
« Ouvre la porte et pousse-moi le bâtard qui pète comme ça !», dit le capitaine de l'avion a l’hôtesse et ce, malgré les circonstances, en passant au-dessus du volcan.
La femme jaune était tendre et n’avait peur de rien. C’est lors d’une tournée de sa bananeraie qu’elle nota la présence du Chevalier du Minuscule, un homme affable dont la bouche baisait à tout va, fille et gars.
« Serais-je perdu ? » se demanda L’Amour Suprême tandis que quatre fleurs toxiques se pourléchaient d’une histoire de plus en fermant les yeux.
Voyager de fourmi rose se révéla une folle aventure et rencontrer Paulette au pied du volcan décida de ce qu’il ferait bientôt, à la fin de sa vie.
Lorsque tout est trop. Lorsque peu est exactement ce qu’il faut mais jamais n’arrive. 
Ces trois cheminées volcaniques eurent raison de son petit cœur. Adieu !
Les conversations de Napoléon à Sainte-Hélène se terminaient toujours en fumée, et le vin produit en cet endroit, malgré des qualités certaines qui éveillèrent ses papilles, détruisirent son petit foie de dictateur.
Etre un oiseau n’accorde aucun privilège. Aucun. Voler autour, au-dessus, en-dessous, au milieu de la fumée sont des actes vains. « Le mieux » dit sobrement Tsatsa en caressant des doigts la table de bois, c’est de s’asseoir sur le bon caillou à la distance certaine…puis, vous fermer les yeux, respirer un peu et attendez, attendez, attendez en vain jusqu’à ce que…

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